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Peribatodes rhomboidaria (Denis & Schiffermüller, 1775)
Boarmie rhomboïdale
Présente de nombreuses formes, dont certaines totalement noires. En France, elle est largement répandue dans tous les types d’habitats. En plaine comme en montagne, dans les bois clairs, les friches, même en ville. Les chenilles sont polyphages et se nourrissent sur diverses espèces telles que Épicea, Céraiste, Clématite, Ronces, Églantier, Cytise, Genêts, Hélianthème, Myrtillier, Sorbier, Gaillets, Chèvrefeuille... La chenille hiverne. Période de vol : Avril à Septembre. Espèce développant plusieurs générations. (Guide des papillons nocturnes de France - Coordonné par R. Robineau - Delachaux et Niestlé)

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Gonepteryx rhamni (Linnaeus, 1758)
Citron
50-55mm. Ailes des deux paires falquées, jaunes chez le mâle, vert d’eau chez la femelle. Habitat : Bois, broussailles, prairies sylvatiques orées forestières. Biologie : De tous nos Rhopalocères, le citron est celui qui peut prétendre à la plus longue espérance de vie : il passe en effet les 12 mois à l’état imagal.. L’adulte quitte sa chrysalide au cœur de l’été ; il s’active sur les fleurs jusqu’à la fin de la saison, puis se retire dans ses quartiers d’hiver. Pour ce faire, il recherche de préférence les sous-bois humides, au sein desquels il choisit un emplacement d’hivernage généralement à proximité du sol, parmi les graminées ou à l’abri d’un roncier. Il est quasi le seul Rhopalocère a hiverner ainsi presque à découvert. Il demeure en général à l’emplacement choisi durant tout l’hiver, pouvant disparaître à plusieurs reprises sous une épaisse couche de neige, pour reparaître intact après la fonte de celle-ci. Comme chez tous les insectes hivernant, une élévation de la concentration des liquides cellulaires s’oppose au gel des tissus. Dès février, certains individus sortent de leur torpeur ; l’accouplement se déroule en mars-avril. Aussitôt après les œufs sont déposés isolément ou par petits groupes sur les bourgeons de la plante hôte en phase de débourrement. La chenille se tient invariablement sur la nervure médiane de la feuille qu’elle consomme, où sa livrée la camoufle efficacement. Il est assez facile de la trouver en repérant les feuilles de Bourdaine dont les bords ont été rongées. La chrysalide succincte ressemble à une petite feuille ; elle est généralement fixée horizontalement sous un rameau. (Guide nature Nathan. Quel est donc ce papillon ? Heiko Bellmann)

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Lycaena phlaeas (Linnaeus, 1761)
Cuivré commun, Bronzé
22-27 mm. Sexes semblables, ailes antérieures rouge cuivré à vif écarlate, bordées de brun et ponctuées de noir ; ailes postérieures brunes avec une bande marginale cuivrée, points post - discaux bleus. Revers antérieures semblables au dessus, postérieures gris beige terne, avec de petits points noirs, fine bande orangée. Papillon actif, le petit Cuivré a un comportement territorial. Le mâle chasse vigoureusement tous les concurrents qui s’aventurent sur son territoire, de peur qu’ils ne deviennent des prétendants encombrants auprès des femelles du voisinage. Habitat : milieux ouverts, lieux incultes ensoleillés. Biologie : l’adulte vole sur une très longue période de la mi-avril à la fin d’octobre, au cours de 4 générations se chevauchant plus ou moins. Les œufs, hémisphériques, bruns et alvéolés sur la surface, sont déposés un à un à la face inférieure des feuilles de la plante hôte, souvent la femelle en pond plusieurs sur un plant minuscule. La chenille a une forme de cloporte, les pattes étant invisibles du dessus (elle est dite « onisciforme ») ; elle est verte et finement poilue avec, en général, trois bandes roses – une sur le dos et deux sur les flancs – qui se rejoignent au niveau de la tête et de l’arrière. Elle hiverne généralement jeune, plus rarement âgée. La nymphose s’effectue à terre entre quelques feuilles de la plante hôte reliées par de la soie. La chrysalide, bombée, brun clair avec de petits points noirs, est généralement retenue par une ceinture de soie sous une feuille ou à la base de la tige de la plante hôte. Plantes hôtes : Rumex : Petite Oseille et Oseille des prés, parfois Patience sauvage (Guide nature Nathan. Quel est donc ce papillon ? Heiko Bellmann / en partie)

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Lasiocampa quercus (Linnaeus, 1758)
Bombyx du chêne, Bombyx du genêt, Minime à bandes jaunes
Atteint 80 mm de longueur. Dans son jeune âge, noire avec des taches dorsales rhomboïdes fauve jaunâtre ; mature, pourvue d’une ligne latérale blanche discontinue, de touffes dorsales denses de poils gris brunâtre, avec les espaces intersegmentaires noirs. GUIDES NATURE "Quel est donc ce papillon ?" NATHAN

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Papilio machaon (Linnaeus, 1758)
Machaon, Grand Porte-Queue

Adulte : 50-75 mm d’envergure. Ailes jaune clair à jaune foncé, chargées de motifs noirs complexes, les ailes postérieures caudées, avec une bande postmédiane de taches bleues et un ocelle anal rouge vif, surmonté de bleu et cerclé de noir.

Chenille : Atteint 45 mm de longueur. Glabre, lisse, vert clair, annelée de noir et également ponctuée de rouge orangé.

Plantes hôtes : Sur diverses Ombellifères (Apiacées), par exemple sur le Boucage saxifrage, le Fenouil commun, le Panais cultivé, le Peucédan des marais, la Carotte sauvage et le Fenouil des Alpes ; en outre sur la Rue fétide qui, appartenant à la famille des Rutacées, témoigne de liens trophiques très éloignés des précédents.

Habitat : Milieux découverts et ensoleillés les plus variés : bermes fleuries des chemins, pelouses sèches, jardins… Généralement assez commun.

Biologie : L’espèce donne deux générations, et même trois dans les régions les plus méridionales. L’adulte montre le même comportement de rassemblement sommital que le Flambé. Inquiétée la chenille évagine de son thorax un organe charnu et fourchu, jaune orangé, dit osmétérium, exhalant une odeur fétide d’acide butyrique. La nymphose s’effectue contre une tige ou sous une pierre. La chrysalide succincte, verte ou gris brunâtre, présente les mêmes particularités biologiques que celle du flambé. (Guide nature Nathan. Quel est donc ce papillon ? Heiko Bellmann)

Facilement identifiable par son apparence éclatante. Vol rapide et agile. Seule confusion possible : le porte queue de Corse. Peu de dimorphisme sexuel : la femelle est plus grande et ses ailes sont moins anguleuses. Envergure 64-100 mm ; vole : avril à août.

Le machaon est présent dans toute l’Europe mais semble se raréfier en Europe centrale. Cette espèce possède une vaste aire de répartition couvrant pratiquement tout l’hémisphère nord tempéré. Plus de cent sous-espèces ont été décrites. Envergure : jusqu’à 90 mm.

• Période de vol : mars à fin septembre, de une à trois générations en fonction de la latitude. • Habitat : prairies fleuries, au moins jusqu’à 1 800 m. • Plantes-hôtes : fenouil, diverses Ombellifères, Citrus • Une, deux ou trois générations par an selon les régions. Les œufs sont pondus isolément (mai-juin ; fin de l’été) sur les feuilles de la plante nourricière (ombellifères, régulièrement dans les feuilles de carottes et de fenouil dans les jardins sans insecticides). L’éclosion s’effectue environ une semaine après la ponte. Le développement larvaire dure à peu près un mois. Les chenilles ont une activité diurne. Quand on les inquiète, elles font saillir leur osmeterium orangé (glande odorante qui éloigne les prédateurs) voir cliché. Les chrysalides sont entourées d’une ceinture de soie. Selon les saisons, le stade nymphal dure trois semaines ou tout l’hiver. Les imagos qui hivernent, peuvent s’observer de mars à septembre.



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Polyommatus icarus (Rottemburg, 1775)
Azuré de la bugrane, Azuré commun
C’est l’un des papillons les plus communs dans nos régions et il fréquente la plupart des prairies naturelles et semi-naturelles. Localement, les bonnes années, il peut même être très abondant. Malgré une certaine variabilité, la plupart des mâles ont un recto bleu nuancé de violet. Celui de la femelle est brun, avec des macules orange et une sulfurisation bleu-violet à la base des ailes d’étendue variable. Le revers des deux sexes est gris-brun avec des macules oranges et des points noirs cernés de blanc. Se rencontre dans une grande variété de lieux, de la plaine jusqu’à plus de 2000 m, partout où ses plantes-hôtes abondent. Plantes hôtes : Lotier, Fabacées. Vol : Avril à octobre, en générations successives. (Nature en poche - Larousse)

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Aspitates ochrearia (Rossi, 1794)
Aspilate ochracée
La coloration de cette espèce peut varier du jaune à l’orangé. Espèce d’Europe méridionale répandue jusqu’en Asie. En France, elle est surtout méridionale et atlantique, mais s’observe aussi par place jusqu’en région parisienne où elle est en forte régression. Elle affectionne particulièrement les coteaux xérothermiques mais se rencontre aussi sur le littoral. Le papillon vole de jour. La chenille, polyphage, se nourrit de (Scabiosa, Thymus, Lavandula, Daucus carota…). La chenille hiverne. Période de vol : V ; VIII ; (IX). Espèce bivoltine, parfois trivoltine dans le Sud. (Delachaux et niestlé, Guide des papillons nocturnes de France, coordonné par Roland Robineau autre nom : Semiaspilates ochrearia

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Argynnis paphia (Linnaeus, 1758)
Tabac d’Espagne
Adulte : Mâle fauve orangé vif, orné de points et de stries noires, dont quatre épaisses stries androconiales sur les nervures postérieures de l’aile antérieure. Femelle fauve terne, plus rarement gris verdâtre sombre (forme valesina Esper) dépourvue de stries. Revers des ailes postérieures vert à reflet métallique dans les deux sexes, traversé de bandes blanc nacré s’amincissant d’avant en arrière. Chenille : Atteint 38 mm de longueur. Brun foncé, avec deux bandes dorsales jaune adjacentes et des épines fauves ; en outre, une paire d’épines thoraciques noires, dépassant la tête à la manière d’antennes. Plantes hôtes : sur divers espèces de Violettes, selon les région, par exemple sur la Violette hérissée (Viola hirta) Habitat : orées et laies forestières, clairières mésophiles richement fleuries, prairies sylvatiques. Espèce encore assez répandue et abondante, reste la plus commune de toutes les Argynnes. Biologie : l’espèce ne donne qu’une génération annuelle. Lors de la parade nuptiale, le mâle plonge en vol sous la femelle, stimulant celle-ci en répandant le parfum de ses androconies. Si la femelle est réceptive, elle se pose rapidement, oriente son abdomen en direction du mâle, venu se poser à ses côtés, et distille à son tour au moyen de ses glandes abdominales des hormones aphrodisiaques propre à stimuler son partenaire, qui procède alors à l’accouplement. Les oeufs sont déposés non pas sur les plantes nourricières, mais à proximité de celles-ci, sur le fût des arbres avoisinants, notamment des pins et des épicéas. A cet effet la femelle décrit en vol une spirale autour du tronc choisi, y déposant un œuf tous les mètres environ. Les chenilles éclosent à la fin de l’automne, et sans prendre la moindre nourriture, s’enferment dans un abri soyeux pour hiverner. En mars, elles gagnent les violettes, sur lesquelles elles se nourrissent la nuit, se dissimulant sous les feuilles durant la journée. La nymphose s’effectue sur un rameau à peu de distance du sol. La chrysalide suspendue, brune, présente des rangées de protubérances dorsales acuminées et des taches brillantes à reflet bleu métallique. (Guide nature Nathan. Quel est donc ce papillon ? Heiko Bellmann)

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Acherontia atropos (Linnaeus, 1758)
Sphinx tête de mort
Olivier, Lilas, Catalpa, Datura, Pommes de terre, Jasmin, Buddleia, Aubergine, Frêne
Observation de Filomenko Madeleine - Ahuy (21) - 21/07/2016 Observation de Sérieys Claude - Gémenos (13) - 19/07/2016 Observation de Bigot Jean-Marc - Tours (37) - 13/08/2015 Observation de Bigot Jean-Marc - Tours (37) - 30/07/2015 Observation de Tashan Michel - Gap (05) - 09/08/2013 Observation de Georges Gwénaël - Yvré l’Evèque (72) - 31/07/2013 Observation de Madame Golé Mireille - Lavercantière (46)- 18/07/2013 sur Pomme de terre Observation Porteneuve Jean-Jacques - Lunel-Viel (34) - 15/11/2012 (...)

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Agrius convolvuli (Linnaeus, 1758)
Sphinx du liseron, Sphinx à cornes de boeuf

Adulte : 8 à 12 cm d’envergure. Ailes antérieures gris brunâtre ornées de motifs complexes à base de stries longitudinales et de taches ; ailes postérieures marquées de bandes transversales sombres. Abdomen rose vif, annelé de noir. Trompe atteignant 8 à 10 cm, et même parfois 13 de longueur.

Chenille : Atteint 12 cm. De teinte très variable. Généralement brune, avec des stries obliques blanchâtres bordées de sombre du côté supérieur, et la face ventrale foncée, mais aussi fréquemment vert pâle, avec des stries obliques claires et des rangées de points noirs, voire presque entièrement noire avec des bandes longitudinales latérales jaune ochracé. La corne abdominale, falquée, est jaune avec l’apex noir dans les deux premières variétés chromatique, noire dans la troisième.

Plantes hôtes : En Europe, la chenille se développe essentiellement sur le Liseron des champs (convolvulus arvensis) et le Liseron des haies (Calystegia sepium), et, plus occasionnellement, sur d’autres convolvulacées cultivées comme plantes ornementales. Hors d’Europe, sur ses terres d’origine, elle vit sur la patate douce et, plus rarement, sur les haricots.

Habitat : Largement répandu dans les régions tropicales et subtropicales d’Afrique et d’Asie, ainsi qu’en Australie. En Europe, n’est autochtone que dans l’extrême Sud (Sicile, Crète, sud du Péloponnèse) ; plus au nord, exclusivement représenté par des sujets migrateurs dont l’abondance varie selon les années en fonction des flux migratoires.

Biologie : L’adulte, essentiellement crépusculaire et nocturne, se dissimule durant la journée contre les troncs et les parois rocheuses, où sa livrée homotypique lui assure un camouflage efficace, en dépit de sa grande taille. A la tombée de la nuit, mais parfois dès la fin de l’après-midi, il butine en vol stationnaire sur les fleurs à profonde corolle tubuleuse, notamment sur celles des Tabacs, Plox, Pétunias, Stramoines, ou Saponaires, qu’il explore grâce à sa trompe démesurément longue. Attiré par les éclairages urbains, il vient tournoyer autour des réverbères, où il est souvent confondu avec une chauve-souris. Grâce à ses formes particulièrement aérodynamiques, il compte parmi les plus puissants volateurs de l’ordre des Lépidoptères. Sa vitesse de croisière, sur de courtes distances, peut dépasser 100km/h, et sur les longs trajets, se maintient autour de 50km/h. Cette capacité de vol soutenu lui permet de partir de son principal réservoir, le continent africain, notamment en présence de courants aériens favorables , de franchir sans peine la Méditerranée, puis les Alpes et de se répandre à travers toute l’Europe, souvent jusqu’en Scandinavie. Les individus migrateurs voyagent par petits groupes. Une première vague migratoire quitte l’Afrique dès la mi-avril, atteignant le Nord de la France dès la mi-mai. La vague la plus abondante déferle en juin et peut se prolonger jusqu’en juillet. En cours de migrations, les femelles déposent leurs œufs dès qu’elles rencontrent un milieu favorable abritant des liserons (bermes de chemins et cultures céréalières, par exemple). La ponte peut renfermer jusqu’à mille œufs ; la taille de ces derniers est très faible (environ 1 mm), comparativement à celle du papillon. La chenille grâce à sa robe discrète, jouit d’un camouflage efficace. On ne l’observe guère qu’à l’époque de l’errance de prénymphose, lorsqu’elle traverse routes et chemins à la recherche d’un abri convenable. Elle finit par s’enfouir et aménager une loge souterraine ovoïde, de la taille d’un œuf de poule, dans laquelle elle se transforme, de dix à quinze jours plus tard, en une chrysalide longue de 5 à 6 cm. Grâce au fourreau libre et contourné en spirale qui abrite sa longue trompe, cette chrysalide se distingue aisément des nymphes de toutes les autres espèces européennes des sphingides. En présente de conditions météorologiques favorables, les premiers imagos peuvent émerger chez nous dès le mois de juillet. Cependant, lorsque le cycle larvaire se prolonge trop tard en saison, la nymphose n’a lieu qu’en septembre, et les chrysalides sont dès lors condamnées à périr durant les froids hivernaux. Les individus nés sur le sol européen effectuent, pour partie seulement, une migration de retour, s’envolant vers l’Afrique. L’élevage de cette espèce est aisé. Pour obtenir l’accouplement des sujets nés en captivité, il est nécessaire de les nourrir avec une solution miellée (miel dilué à 1/10). Pour ce faire, on déroule la trompe de l’animal au moyen d’une pince fine et on en plonge l’extrémité dans une coupelle contenant la solution aqueuse. (Guide nature Nathan. Quel est donc ce papillon ? Heiko Bellmann)

Afrotropicale. Répartie jusqu’en Papouasie, migratrice en Europe jusqu’en Scandinavie. Répandue dans toute la France continentale où elle se reproduit ainsi qu’en Corse. La chenille se développe principalement sur Convolvulus arvensis et Ipomea ; et sur Rumex, Impatiens, Chrysanthenum et Helianthus. Le papillon s’observe dès le crépuscule, sur les fleurs des jardins et des prairies. Période de vol : VI-IX. Espèce bivoltine, plus fréquente en seconde génération. (Delachaux et niestlé, Guide des papillons nocturnes de France, coordonné par Roland Robineau)

Mâle. Envergure : 85-110 mm. L’aile antérieure, à apex pointu, est gris brunâtre, avec des stries noires longitudinales et des sinuosités blanchâtres et transversales peu distinctes. La postérieure présente une série de lignes noirâtres et concentriques sur fond plus clair. L’abdomen est de façon caractéristique annelé de noir et de rose vif, avec une ligne médiane gris brunâtre.

Femelle. Envergure : 90-115 mm. Semblable, mais aile antérieure moins contastée.

Variation. F. virgata Tutt, 1904 : aire médiane de l’aile antérieure plus foncée. Forme variegata Tutt, 1904 : aires basale et terminale envahies de blanc. Forme obscurata Tutt, 1904 : assombrissement des quatre ailes. Forme alicea Neuburger, 1899, abdomen brun doré (et non gris), lignes transversales jaune doré (et non rouges). Espèce proche : aucune en Europe.

Biologie. Plantes-hôtes : surtout les liserons (dont Convolvulus arvensis). Tous types de biotopes, y compris en ville, puisqu’il s’agit d’un migrateur. Observé jusqu’à 2800 m d’altitude. Vole au crépuscule pour butiner les corolles du tabac, du pétunia, du phlox de la saponaire et du buddléia. Ce grand migrateur revient en Europe chaque année à la saison chaude. Il se reproduit sur place mais ne résiste pas à l’hiver. C’est l’un des papillons les plus rapides en vol (il peut dépasser les 50k m/h). Période d’apparition de mai à novembre.

Distribution. Presque mondiale (sauf vers les pôles). Grand migrateur qui atteint l’Europe chaque année (en quantité variable) et qui remonte parfois en petit nombre jusqu’au grand nord. Statut. Migrateur assez régulier.

Remarque. Agrius cingulatus (fabricius), espèce très proche d’Amérique, a été signalé récemment au Portugal. (NAP, Papillons de nuit d’Europe volume 1, Patrice Leraut)



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Depressaria daucella (Denis & Schiffermüller, 1775)
Observation de Ribaud Franck - dépt (84) - 15/07/2009 Observation de Cosson Alain - Perros-Guirec (22) - 25/05/2003

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Gastropacha populifolia (Denis & Schiffermüller, 1775)
Feuille morte du peuplier
Observation de Bassivière Sébastien - Saint-Raphaël (83) - 30/07/2009 Observation de Mme Rodriguez Helene - Lourmarin (84) - 19/06/2008

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Hippotion celerio (Linnaeus, 1758)
Observation : Isle sur sorgue (84) - 18/10/2009 Observation de Molzino Odile - Saint-Rémy de Provence (13) - 09/10/2009 Observation de Guiraud Christophe - Nîmes (30) - 27/09/2009 Observation de Elby Philippe - Saint-Révérien (58) - 07/07/2009 Observation de Yvorra Pascale - Toulon (83) - 21/10/2007 Observation de Riaux Estaque - Marseille (13) - 20/10/2007 Observation de Joubert Jean-Louis - Grasse (06) - 23/09/2007

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Laothoe populi (Linnaeus, 1758)
Sphinx du peuplier
Observation de Brigitte Seys - Pierre Pamole (63) - 04/09/2012 Observation de Brigitte Seys - Marchiennes (59) - 16/09/2011 Observation de Teulier Emilien - Albias (82) - 21/10/2010 Observation Mme Aarts Carla - Castelfranc (46) - 05/08/2010 Observation de Ribaud Franck - dépt 84 - 15/07/2009 Observation : Montbrun (48) - 30/08/2006 Observation de Vogel Gérard - Thonne-le-Thil (55) - 02/08/2006 Observation de M.Marin - Ressons le Long (02) - 23/07/2006 Observation de Mr Deymie Yves - (81) - 12/07/2005 Observations de Mr Guyonnet Antoine - Niort (79) - (...)

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Aetheria bicolorata (Hufnagel, 1766)
Observation de Brigitte Seys - Carvin (62) - 16/06/2013 Observation de Crismer Claude - Le Barroux (84) - 16/09/2011 Observation de Villatte Raymond - Condat sur Vienne (87) - 14/06/2011 Observation de Meistermann Jean-Marc - Roquevidal (81) - 29/06/2010 Observation de Brigitte Seys - Carvin (62) - 07/06/2010 Observation de Le Mao Patrick - Kergaradec Brest (29) - 31/08/2009 Observation de Brigitte Seys - Carvin (62) - 22/08/2009 Observation de Brigitte Seys - Carvin (62) - 01/08/2009 Observation de Henk Smit - Millau (12) - 19/05/2009 Observation de J.F. - Montluçon (03) - (...)

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Agrotis crassa (Hübner, 1803)
La noctuelle trapue, Noctuelle épaisse
Autre nom : Agrotis bigramma Méditerranéo-asiatique. Présente dans une grande partie de l’Europe du Sud et centrale, sa limite septentrionale atteint le sud des Pays-Bas. Absente des îles britanniques. En France, elle est largement répandue. C’est une des plus grandes espèces du genre Agrotis. Peu exigeante écologiquement, elle se rencontre dans tous les milieux ouverts herbacés et arbustifs, de la plaine à la moyenne montagne. La chenille, polyphage, s’alimente de racines de graminées et diverses autres plantes basses. Elle est considérée comme nuisible dans certains vignobles. Période de vol : Août à Octobre. Espèce univoltine. (Guide des papillons nocturnes de France - Coordonné par R. Robineau - Delachaux et Niestlé)

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Agrotis trux (Hübner, 1824)
Noctuelle farouche
Méditerranéo-asiatique. Présente en Europe de l’Ouest et du Sud, de l’Irlande à l’Ukraine, traversant l’ouest de l’Europe centrale et tout le bassin méditerranéen. En France, cette espèce se rencontre un peu partout, excepté au nord de la région parisienne. Thermophile, elle se rencontre dans les milieux ouverts, du littoral jusqu’à plus de 21500m d’altitude. Elle possède une tache noire qui se détache sur la côte, près de l’apex. La chenille, polyphage, se nourrit sur diverses plantes herbacées. Période de vol : VII-XI. Espèce univoltine. (Delachaux et niestlé, Guide des papillons nocturnes de France, coordonné par Roland Robineau).

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Bena bicolorana (Fuessly, 1775)
Halias du chêne
Observation Porteneuve Jean-Jacques - Lunel-Viel (34) - 30/08/2013 Observation de Brigitte Seys - Vred (59) - 08/06/2013 Observation de Crismer Claude - Le Barroux (84) - 14/09/2011 Observation de Teulier Emilien - Albias (82) - 21/08/2011 Observation de Francoz Philippe - Trévignin (73) - 25/06/2009 Observation de Brigitte Seys - Phalempin (59) - 13/06/2009 Observation de A. Jacquetton - Ampuis (69) - 23/06/2006

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Cauchas rufimitrella (Scopoli, 1763)
Observation de Teulier Emilien - Loze (82) - 20/05/2011 Observation de Le Mao Patrick - Bonnemain (35) - 24/05/2010 Observation de Ribaud Franck - dept 84 - 01/05/2009 Photos Mr Albert Perrin - Strasbourg (67) - 26/05/2005 http://www.pixal.jepose.com/ Photo Mr Buquet Christophe - 03/04/2004 - Seine Maritime (76)

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Cryphia muralis (Forster, 1771)
Rupestre, Bryophile du lichen
Atlanto-méditerranéenne. Présente dans une grande partie de l’Europe, excepté la Scandinavie. En France, elle est largement répandue. Elle semble, dans la zone méditerranéenne, plus fréquente que C.domestica, dont l’habitus est proche. Xérothermophile, elle affectionne les pelouses sèches et rocailleuses, les coteaux ensoleillés et les forêts claires. La chenille consomme divers lichens et algues (Protococcus) poussant sur les arbres et la roche. Période de vol : VII-X. Espèce univoltine. (Delachaux et niestlé, Guide des papillons nocturnes de France, coordonné par Roland Robineau)

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Cymbalophora pudica (Esper, 1784)
Ecaille tesselée, Ecaille pudique

Présente en Europe de l’Espagne aux Balkans en passant par le sud de la France et le nord de l’Italie. En France, largement répandue dans le Sud et en Corse. Elle affectionne les garrigues et les bois clairs bien exposés. La chenille se développe sur de nombreuses plantes basses. Les mâles « cymbalisent » en volant. Vol : VIII-IX. Espèce univoltine. Etroitement apparentée aux écailles marbrées et chinées. (Delachaux et niestlé, Guide des papillons nocturnes de France, coordonné par Roland Robineau)

Mâle. Envergure : 35-42 mm. Aile antérieure blanc rosâtre, avec un dessin tesselé à base de taches noires anguleuses. Postérieure blanc à rosâtre avec des taches marginales d’étendue variable. Femelle. Envergure : 37-42 mm. Semblable. Variation. L’étendue, la forme des taches et la couleur du fond varient. Les ailes peuvent être nuancées de jaunâtre : f. flaveola Schultz, 1906, ou grises : f. fumosa Oberthür, 1911. Les formes très roses sont nommées rosina Zerny, 1927. Taches confluentes : f. cohaerens Schultz, 1905. Espèce proche : Cymbalophora rivularis (Menestries), plus petit, à femelle microptère, et ailes à fond blanc. Biologie. Chenille sur graminées et plantes basses. Période d’apparition. Mai à juin, puis août à septembre. Distribution. De la péninsule Ibérique à la Grèce ; Afrique Nord. En France, tout le Midi, façade atlantique, remonte jusqu’au Rhône ; présent en Corse. Statut. Assez localisé. (NAP, Papillons de nuit d’Europe volume 1, Patrice Leraut)



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Eurranthis plummistaria (Villers, 1789)
Eurranthis plumeux, Plumet
Observation Porteneuve Jean-Jacques - St Julien (83) - 04/05/2022 Observation Porteneuve Jean-Jacques - St Julien (83) - 16/04/2022 Observation de Fassbender Hans-Werner - Colorado de Rustrel (84) - 24/04/2011 Observation de Malaval Jean-Claude - Grabels (34) - 01/04/2010 Observation de Francoz Philippe - Forêt domaniale de Bois Sauvage (07) - 24/04/2004

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Eurrhypis pollinalis (Denis & Schiffermüller, 1775)
Observation de Vogel Gérard - St-Nazaire-le-Désert (26) - 20/05/2014 Observation de M. Porteneuve Jean-Jacques - Goudet (43) - 26/06/2010 Observation de M. Zilavy Serge - Vaucluse (84) - 07/06/2009 Observation de Mr Ygnard Jean - Le Grand Lierne (26) - 14/05/2009 Observation de Mr Spill François - Région de Lembach (67) Observation de Francoz Philippe - St Jean de Chevelu (73) - 20/05/2004

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Horisme vitalbata (Denis & Schiffermüller, 1775)
Horisme rayé
Clématite sauvage
Observation de Vogel Gérard - Pennes-le-Sec (26) - 18-05-2014 Observation de Mme Blanc Josselyne - Les Vans (07) - 05/09/2013 Observation Porteneuve Jean-Jacques - Villetelle (34) - 11/06/2013 Observation Porteneuve Jean-Jacques - Lunel-Viel (34) - 31/05/2013 Observation de M. Crismer Claude - Le Barroux (84) - 15/09/2011 Observation de Mme Blanc Josselyne - Savas (07) - 21/08/2011 Observation de Mme Blanc Josselyne - Tupin et Semmons (69) - 01/05/2011 Observation de Brigitte Seys - Avion (62) - 07/07/2010 Observation de Riffé Jacques - Saint Maurice des Noues (85) (...)

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Idaea aversata (Linnaeus, 1758)
Impolie, Acidalie détournée
Cette phalène se présente sous deux formes, l’une à bande transversale foncée et l’autre sans, les deux étant aussi communes. On dérange facilement le papillon durant la journée mais sa période normale de vol est la nuit, durant laquelle il est attiré par la lumière. Se rencontre dans les jardins, les friches et les jachères où abondent les plantes basses. Période de vol : Juin à Septembre. (papillons, Larousse, Nature en poche)

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Luperina rubella (Duponchel, 1835)
Lupérine rougeâtre
Méditerranéo-asiatique. Présente dans le sud de l’Europe, excepté la péninsule Ibérique. En France, on la rencontre dans le Sud-Est, des Alpes-Maritimes à l’Hérault, et elle remonte jusqu’en région lyonnaise. Absente de Corse. À tendance calcicole, elle affectionne les milieux ouverts bien exposés jusqu’en moyenne altitude, et il n’est pas rare de la rencontrer en zone urbaine, attirée par les éclairages publics. La chenille vit sur les racines de diverses graminées Période de vol VIII-X. Espèce univoltine. (Delachaux et niestlé, Guide des papillons nocturnes de France, coordonné par Roland Robineau).

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Luperina testacea (Denis & Schiffermüller, 1775)
Avare, Lupérine testacée
Méditerranéo-asiatique. Présente dans toute l’Europe tempérée, absente d’une grande partie de la Russie. En France, on la rencontre partout, excepté en Corse. De coloration variable, il existe de nombreuses formes chromatiques, allant du beige au gris foncé. Elle peut être confondue avec L. nickerlii. Écologiquement peu exigeante, elle fréquente de nombreux milieux, y compris urbains. La chenille, qui hiverne, consomme les racines de diverses graminées. Période de vol : Août à Septembre. Espèce univoltine. (Guide des papillons nocturnes de France - Coordonné par R. Robineau - Delachaux et Niestlé)

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Aletia ferrago (Fabricius, 1787)
Argentée, Noctuelle lythargyrée
Méditerranéenne. Presque toute l’Europe, excepté l’extrême Nord. En France, elle est largement répandue mais plus fréquente dans la moitié Sud où elle peut être abondante localement. Peu exigeante écologiquement, elle se rencontre dans tous types de milieux ouverts, jusqu’en montagne. La chenille, polyphage, hiverne aux premiers stades et consomme de nombreuses graminées et plantes basses. Période de vol : Juin à Octobre. Espèce univoltine ? (Guide des papillons nocturnes de France - Coordonné par R. Robineau - Delachaux et Niestlé)

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Perizoma bifaciata (Haworth, 1809)
La perizome soulignée
Euphraises et apparentées
Observation de Crismer Claude - Le Barroux (84) - 04/09/2011 Observation de Brigitte Seys et Denis Vandromme - Brenne (36) - 03/09/2010 Observation de Brigitte Seys - Carvin (62) - 14/08/2010 Observation Mme Aarts Tineke - Catus (46) - 17/08/2009

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Pyronia bathseba (Fabricius, 1793)
Tityre
Ce papillon à l’ornementation contrastée se reconnaît facilement à son unique ocelle sur l’aile antérieure et aux trois ocelles des ailes postérieures, tous visibles sur la face supérieure. La bande épaisse blanc crème au verso de l’aile postérieure est un autre bon critère pour identifier ce papillon héliophile. Affectionne les friches ensoleillées et la lisière des bois secs, d’ordinaire à moins de 1000 m. Période de vol : Avril à Juillet. (Nature en poche - Larousse)

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Satyrium spini (Denis & Schiffermüller, 1775)
Thécla des nerpruns
Observation Porteneuve Jean-Jacques - Saint Mathieu de Tréviers (34) - 16/06/2019 Observation de M. Coscoy Miguel - Bruniquel (82) - 12/06/2011 Observation Chaverot Patrice - Dentelles de Montmirail (84) - 04/06/2011 Observation de Francoz Philippe - École en Bauges (73) - 04/08/2010 Observation de Mr Le Mao Patrick - Reculée de Cerdon (01) - 25/07/2001

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Scotochrosta pulla (Denis & Schiffermüller, 1775)
Xyline brouillée

Ponto-méditerranéenne. Occupe le sud et le centre de l’Europe, de l’Espagne au bassin de la mer noire. En France, elle est présente dans un tiers Sud, de la partie orientale des Pyrénées à la Côte d’Azur et remonte jusqu’en Ardèche. Egalement en Corse. Xérothermophile, elle fréquente les forêts sèches et claires étroitement liées à la zone du chêne pubescent. La chenille vit sur diverses plantes basses.

Période de vol : IX-X. Espèce univoltine avec exceptionnellement une génération au printemps. (Delachaux et niestlé, Guide des papillons nocturnes de France, coordonné par Roland Robineau)



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Hyles euphorbiae (Linnaeus, 1758)
Sphinx de l’euphorbe
Euphorbes
Observation Porteneuve Jean-Jacques - St Julien (83) - 18/06/2022 - Chrysalide obtenue le 28/06/2022 et imago le 19/08/2022 Observation Porteneuve Jean-Jacques - Montpellier (34) - 07/11/2013 Observation de Michel Clere - Aveyron (12) - 12/07/2012 Observation de Bertrand Fabienne - Massif des Dentelles de Montmirail (84) - 27/09/2010 Observation Mme Aarts Tineke - Catus (46) - 29/06/2010 Observation de Laetitia et Jérôme Varillon - Col de la Colombiére (74) - 19/08/2010 Observation de Vigny Sébastien - Sommet du Salève (74) - 12/09/2009 Observation de Manzini Mélina et (...)

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Melitaea cinxia (Linnaeus, 1758)
Mélitée du plantain

CHENILLE. Atteint 25 mm de longueur. Noire, avec des épines concolores, des rangées transversales de points blancs et la tête rouge.

HABITAT. Avant tout dans les milieux ouverts particulièrement chauds et secs, en particulier sur les pelouses calcaricoles, les prairies maigres ensoleillées, les lieux incultes et les orées forestières. Jadis l’une des Mélitées les plus banales, de nos jours en forte régression dans une grande partie de l’Europe non montagneuse. En France, en recul significatif dans la moitié nord et dans l’ouest du pays.

BIOLOGIE. L’adulte, thermophile, aime à se chauffer sur le sol nu. Les oeufs sont déposés en amas de plusieurs couches à la face inférieure des feuilles de la plante hôte. Les chenilles vivent dans un nid soyeux communautaire dans lequel elles hivernent à mi-taille. Elles se dispersent au printemps, atteignent toute leur taille en avril et se nymphosent en mai à l’abri d’un réseau soyeux lâche, à proximité du sol. La chrysalide, succincte, grise, porte de nombreuses protubérances dorsales claires. Selon les régions, l’espèce donne une ou deux générations annuelles.

(Quel est donc ce papillon ? Heiko Bellmann - Nathan)



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Saturnia pavonia (Linnaeus, 1758)
Eurasiatique. Espèce à vaste distribution géographique recouvrant la majeure partie de l’Europe. Répandue partout en France. Elle fréquente principalement les landes collinéennes, les coteaux ensoleillés, les orées forestières jusqu’à 2000 m d’altitude dans les Alpes. Les chenilles sont polyphages sur Calluna, Erica, Crataegus, Rubus, Prunus, Fraxinus, Salix, Betula, etc. Attirés par les phéromones, les mâles volent rapidement le jour à la recherche des femelles qui restent dissimulées dans la végétation et ne volent que la nuit. Dimorphisme sexuel important. Espèce univoltine. (Guide des papillons nocturnes de France - Robineau Roland)

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Saturnia pyri (Denis & Schiffermüller, 1775)
Grand Paon de Nuit

Espèce assez répandue en Europe méridionale et dans le Sud de l’Europe moyenne. Assez commune en France, mais absente du Nord. Longueur maximale : 120 mm. Corps d’un vert jaunâtre vif. Dorsalement et latéralement, des tubercules saillants, en grande partie bleus et munis de grandes soies noires. De chaque côté de l’abdomen, sous les stigmates, une ligne longitudinale de couleur blanchâtre. Pattes brunes. Ecusson anal brun, ainsi qu’une partie des fausses pattes anales. Tête verte avec un dessin noir en forme de "V". Les jeunes chenilles sont noires avec des tubercules rouges. (guide des chenilles d’Europe)

Répandue presque partout dans la moitié sud de la France, beaucoup plus rare vers le Nord où sa présence est sporadique. Semble en voie de régression dans plusieurs régions comme le Bassin parisien, par exemple. Fréquente les espaces arborés, les parcs et les jardins, les vallons à végétation arbustive où sa chenille se nourrit de différents feuillus (Aulne, Peuplier, Saule, Frêne) et arbres fruitiers. Les adultes volent jusqu’à l’altitude de 1800 m dans les Alpes ; leur vol est crépusculaire et nocturne. Les mâles sont fortement attirés par les phéromones émises par les femelles. Période de vol : Avril à Juin. Espèce univoltine. (Guide des papillons nocturnes de France)



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Smerinthus ocellata (Linnaeus, 1758)
Sphinx demi-paon
Peuple les bois clairs, les vergers, les jardins et les berges, où poussent les saules. La chenille possède une corne bleue. Elle consomme les feuilles de sa plante hôte, de juin à septempbre, avant d’hiverner à l’état de nymphe. Vol : Mai à Juillet. (Nature en poche - Larousse) Longueur maximale : 80mm. Corps vert bleuté ou vert jaunâtre, finement piqueté de blanc. De chaque côté, sept stries latérales blanchâtres ou d’un jaune verdâtre clair. Stigmates blancs, cerclés de rouge sombre. Scolus du huitième segment abdominal bleu grisâtre. Tête triangulaire, verte avec deux stries jaunes. Il existe une forme ornée de points latéraux rougeâtres. (guide des chenilles d’Europe)

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Yponomeuta malinellus (Zeller, 1838)
Yponomeute du pommier
Observation de Hèm Daniel - Saint-Saturnin-lès-Apt (84) - 03/07/2010 Observation de Meistermann Jean-Marc - Roquevidal (81) - 30/05/2010 Observation de M. Porteneuve Jean-Jacques - Brioude (43) - 29/05/2008 - cocons Observation de M. Porteneuve Jean-Jacques - Brioude (43) - 22/05/2008 - chenilles à terme Observation de M. Porteneuve Jean-Jacques - Brioude (43) - 18/05/2008 Observation de M. Porteneuve Jean-Jacques - Brioude (43) - 28/05/2007 - Cocons Observation de M. Porteneuve Jean-Jacques - Brioude (43) - 28/05/2007 Observation de M. Porteneuve Jean-Jacques - Brioude (43) - (...)

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Acontia lucida (Hufnagel, 1766)
Collier blanc, Noctuelle maculée
En France, elle a été autrefois mentionnée au-delà de Paris, mais a disparu d’une grande partie du Nord où elle est observée ponctuellement les années chaudes. Ailleurs, elle est bien répandue, notamment dans la moitié Sud du pays. L’adulte butine pendant la journée et vient également aux sources lumineuses. Peu exigeante écologiquement, on la rencontre jusqu’en zone urbaine. Période de vol : Mai à Octobre. Espèce plurivoltine. (Guide des papillons nocturnes de France)

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Clepsis pallidana (Fabricius, 1776)
Observation de Vogel Gérard - Sorgues (84) - 08/09/2013 Observation Porteneuve Jean-Jacques - Lunel-Viel (34) - 10/05/2013 Observation de Mme Blanc Josselyne – Savas (07) – 28/09/2011 Observation de Mme Blanc Josselyne – Savas (07) – 13/09/2010 Observation de Mme Blanc Josselyne – Savas (07) – 06/09/2010 Observation de Mme Blanc Josselyne – Savas (07) – 09/08/2010 Observation de Mme Blanc Josselyne – Savas (07) – 06/08/2010 Observation de Mme Blanc Josselyne – Savas (07) – 08/07/2010 Observation de Mme Blanc Josselyne – Savas (07) – 26/06/2010 Observation de Mme Blanc Josselyne – Savas (07) (...)

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Eilema complana (Linnaeus, 1758)
Lithosie aplatie, Manteau à tête jaune
Répandue jusqu’à 1500 m d’altitude. Vole de Juin à Septembre dans les forêts de feuillus. Activité plutôt nocturne. (Guide des papillons nocturnes de France)

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Eupithecia lariciata (Freyer, 1841)
Eupithécie du mélèze
Espèce à la forme des ailes caractéristique, avec un point discal bien visible. espèce circum-paléartique, répartie en Europe centrale et septentrionale. En France cette espèce est distribuée sur l’ensemble des régions situées à l’est d’une ligne allant du Pas-de-Calais aux Pyrénées centrales. Fréquente les forêts de conifères où les mélèzes prospèrent. surtout dans les Alpes où elle peut être très commune jusqu’à 3000 m d’altitude. Plus localisée ailleurs, avec des populations isolées en plaine dans le Nord et dans l’Est. La chenille se nourrit des aiguilles de Mélèze d’Europe (Larix decidua), mais peut accepter Abies(=sapin) . Période de vol V-VIII. Espèce univoltine (Delachaux et niestlé, Guide des papillons nocturnes de France, coordonné par Roland Robineau)

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Hesperia comma (Linnaeus, 1758)
Virgule, Comma
Graminées
Observation Porteneuve Jean-Jacques - St Julien (83) - 26/09/2022 Observation Porteneuve Jean-Jacques - Cazevieille (34) - 23/08/2013 Observation Bahuaud François - Alpe-d’Huez (38) - 01/09/2011 Observation de Biard Patrick - Pleaux (15) - 12/07/2011 Observation de Laprat Michel - Digne (04) - 07/08/2010 Observation de Vogel Gérard - Dompcevrin (55) - 22/08/2009 Observation de M. Teulier Emilien - Saint-Antonin Noble Val (82) - 02/08/2009 Observation de Nathalie Vansieleghem - Vercors (26) - 31/08/2008 Observation de Mr Mulot Patrick - Gigondas (84) - 17/08/2008 (...)

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Idaea degeneraria (Hübner, [1799])
Acidalie dégénérée
Très variable, proche de I. rubraria mais plus fine, plus petite, la partie colorée des antérieures souvent plus vaste, touchant parfois le thorax. Points discaux plus fins. Répartie du sud de l’Europe jusqu’en Asie centrale. En France, elle est présente dans tout le Sud et l’Ouest ainsi que, plus localisée et par place, en Île-de-France et dans l’Est. Commune sur les bords de chemins, friches, terrains bien exposés, maquis et oliveraies dans le Midi. La chenille, polyphage, se nourrit sur divers Achillée millefeuille, Scabieuse, Liseron, Bourdaine, Epiaire, Renouée, Ronces… (Achillea millefolium, Scabiosa, Convolvulus, Frangula alnus, Stachys, Polygonum, Rubus…) Période de vol IV-V ; VII-IX. Espèce bivoltine. (Delachaux et niestlé, Guide des papillons nocturnes de France, coordonné par Roland Robineau)

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Idaea filicata (Hübner, 1799)
Phalène rustique du Midi
Méditerranéenne, elle est répandue dans le Sud de la France et remonte la vallée du Rhône. Dans les montagnes de Corse vole la sous-espèce levequei qui est plus claire. Souvent très abondante à la lumière. La chenille se nourrit certainement des feuilles sèches de nombreuses plantes. A été observée sur divers Dianthus et Veronica. Période de vol IV-X. Espèce plurivoltine. (Delachaux et niestlé, Guide des papillons nocturnes de France, coordonné par Roland Robineau)

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Lasiommata megera (Linnaeus, 1767)
Mégère, Satyre
La femelle est souvent plus pâle que le mâle. L’imago est visible de mai à juin puis de juillet à septembre-octobre. Répandu et commun dans toute la région. Il fréquente les lieux incultes riches en graminées, les allées forestières (Forêt de La Coubre 17). Adulte : Jaune fauve marqué de lignes transversales brunes, avec un ocelle aux ailes antérieures et quatre aux postérieures. Mâle pourvu d’une plage androconiale oblique aux ailes antérieures, qui fait défaut chez la femelle. Revers des ailes postérieures marbré de gris, pourvu de sept ocelles antémarginaux entourés de fauve et bicerclés de noirâtre. Chenille : 25 mm. Verte avec une ligne latérale blanche nettement indiquée. Plante – hôte : Graminées : Fétuque des brebis, Palène, Brome dressé, Dactyle pelotonné Habitat : Dans les milieux ouverts chauds, avant tout sur les sites sablonneux, argileux ou calcaires, notamment dans les carrières, sur les landes rocailleuses septiques et les pelouses écorchées. Encore assez répandu presque partout, mais accuse localement un certain recul. Biologie : L’espèce donne 2 ou 3 générations. L’adulte se pose volontiers, ailes fermées, sur les rochers ou la terre nue : les couleurs cryptiques de son revers l’y rendent presque invisible. Lorsqu’il se chauffe au soleil, il se tient soit les ailes fermées (orientées face au rayonnement), soit ailes largement ouvertes. Il fréquent assidûment les fleurs, surtout celles de teintes pourpre ou violette. Les œufs sont déposés isolément sur les chaumes ou les feuilles des plantes hôtes. La chenille, très homotypique, diurne dans son jeune âge, adopte en cours de croissance des mœurs nocturnes et se nymphose à proximité du sol, sur une tige desséchée ou contre un rocher. La chrysalide, assez élancée, vert pâle ou brune, porte deux rangées dorsales de protubérances blanchâtres. L’espèce hiverne à l’état larvaire (à mi-taille). Elle ne compte que quatre stades larvaires contre cinq chez la plupart des autres espèces. (Guide nature Nathan. Quel est donc ce papillon ? Heiko Bellmann)

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Azuritis reducta (Staudinger, 1901)
Sylvain azuré

Si cette espèce ressemble au petit sylvain, on peut l’en distinguer avec un peu d’attention. Le recto du sylvain azuré a un fond plus foncé avec de gros dessins blancs, et une tache blanche en forme de disque sur l’aile antérieure. Au verso, on note une rangée de points noirs submarginaux. Recherche les bois clairs et les taillis bordant les friches, d’ordinaire à faible altitude. Envergure : 5 cm. Vol : Mai à juillet. (Nature en poche - Larousse)

Adulte : 45-50 mm. Diffère du petit sylvain par la couleur fondamentale d’un noir plus profond et chatoyant en bleuâtre dans les deux sexes, ainsi que par la présence d’une tache discoïdale blanche aux ailes antérieures. Revers lie de vin et gris bleuté, ne portant qu’une rangée de points sombres dans l’aire post-discale. Plante–hôte : sur divers chèvrefeuilles et Camérisiers (dont Lonicera xylosteum) Chenille : 27 mm. Verte avec dessous et épines brunâtres, ligne longitudinale blanche Habitat : Orées forestières chaudes et ensoleillées, pelouses sèches en voie d’embroussaillement. Espèce abondante dans le sud de la France, en régression dans le tiers nord du pays.

Biologie : 1 seule génération au nord, 2 voire 3 dans le midi où l’adulte vole jusqu’en septembre.(Guide nature Nathan. Quel est donc ce papillon ? Heiko Bellmann)



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Mamestra brassicae (Linnaeus, 1758)
Noctuelle du chou, Brassicaire
Même si elle apprécie le chou et les plantes apparentées (et peut occasionner localement des dégâts), cette noctuelle se développe sur de nombreuses sortes de plantes. Le papillon est brun assez uniforme, avec une marbrure foncée et des dessins clairs sur l’aile antérieure. Il est attiré par la lumière. La nuit, on peut le voir butiner des fleurs, comme les valérianes. Peuple presque tous les habitats, car la chenille accepte de nombreuses plantes. Période de vol : Mai à Septembre, mais se rencontre toute l’année. (Larousse - Nature en poche)

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Nomophila noctuella (Denis & Schiffermüller, 1775)
Pyrale hybride
Observation Porteneuve Jean-Jacques - St Julien (83) - 30/04/2022 Observation Porteneuve Jean-Jacques - Calvisson (30) - 07/05/2015 Observation de Vogel Gérard - Dompcevrin (55) - 21/09/2013 Observation Porteneuve Jean-Jacques - Lunel-Viel (34) - 25/11/2012 Observation Porteneuve Jean-Jacques - Lattes (34) - 01/10/2012 Observation de Francoz Philippe - Ste Marie du Mont (38) - 10/09/2012 Observation de Brigitte Seys - Les Salles (42) - 27/04/2012 Observation de M. Porteneuve Jean-Jacques - Brioude (43) - 14/06/2012 Observation de Jean-Claude Jamoulle - Mougins (06) - 09/08/2011 (...)

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Scopula marginepunctata (Goeze, 1781)
Frange picotée, Acidalie changée, Phalène du bouillon blanc
Espèce à l’habitus variable ressemblant à S. submutata. Elle en diffère par la couleur de fond des ailes d’un gris plus uni, la faiblesse des marques sur la côte et la position du point discal des antérieures, hors de la bande médiane. Répandue dans toute l’Europe sauf l’extrême Nord, cette espèce Eurasiatique étend son aire jusqu’en Mongolie. Elle est présente partout en France. Se rencontre le plus souvent en moyenne montagne où elle est commune dans les sites xériques, les éboulis. Peut toutefois atteindre de hautes altitudes. La chenille, polyphage, se nourrit sur les Gypsophila, Thymus, Origanum, Teucrium, Stachys recta, Artemisia vulgaris, Achillea millefolium, Sedum … Période de vol : V-IX. Espèce bivoltine. (Delachaux et Niestlé, Guide des papillons nocturnes de France, coordonné par Roland Robineau)

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Thalpophila matura (Hufnagel, 1766)
Noctuelle cythérée
Méditerranéo-asiatique. Largement répandue en France et en Europe. Dans le Sud, T. vitalba s’en distingue par des lignes blanches longitudinales dans l’espace médian et par les postérieures plus pâles. À tendance thermophile, elle occupe les milieux prairiaux, les pelouses et les clairières sèches. La chenille hiverne et se développe sur les graminées. Période de vol VI-IX. Espèce univoltine. (Delachaux et niestlé, Guide des papillons nocturnes de France, coordonné par Roland Robineau).

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Triodia sylvina (Linnaeus, 1761)
Sylvine
Eurasiatique. Europe moyenne et méridionale. Partout sauf en Corse. Affectionne les prairies, les espaces cultivés, les jardins. L’activité est crépusculaire et nocturne dans les deux sexes, mais les femelles, beaucoup plus grosses que les mâles, volent peu, après avoir pondu. Les chenilles, endophytes, se développent en deux ans dans les racines de nombreuses plantes basses (Althaea, Rumex, Taraxacum, Daucus, Verbascum, fougères, etc.) Période de vol : Août et Septembre. (Guide des papillons nocturnes de France - Coordonné par R. Robineau - Delachaux et Niestlé)

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Tyta luctuosa (Denis & Schiffermüller, 1775)
Noctuelle en deuil, Funèbre
Eurasiatique. En Europe, elle est largement répandue, excepté dans l’extrême Nord. En France, En France, on la rencontre un peu partout. Elle vole de jour, butinant les fleurs aux heures les plus chaudes de la journée, et également de nuit. Elle affectionne les milieux ouverts, comme les prairies, friches et jardins. La chenille, polyphage, se nourrit sur Liserons (Convolvulus, Calystegia), Plantain Plantago)... Période de vol : IV-VII ; VIII-IX. Espèce bivoltine. (Delachaux et niestlé, Guide des papillons nocturnes de France, coordonné par Roland Robineau)

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Zygaena transalpina (Esper, 1780)
Zygène transalpine
Avertissement concernant cette espèce : la détermination certaine passe par l’étude des genitalias. Il ne s’agit donc que de propositions d’identifications.

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Membre actif du RPAPN : http://www.biodiversite-poitou-charentes.org/